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24/11/06 9:30 Page 247 Espagnol Ce cas a été rédigé par l’ESC Pau. S Sujet passerelle_p223-266x Durée : 2 heures. CONSIGNES RELLE PASSE Aucun document n’est autorisé. L’épreuve comprend trois parties, chacune étant notée sur 20 : I – Synthèse en espagnol d’un document rédigé en espagnol : 150 mots ± 10 % ; II – Synthèse en espagnol d’un document rédigé en français : 150 mots ± 10 % ; III – Production libre en espagnol : 200 mots ± 10 %. Tout manquement à ces normes – par excès ou par défaut – sera sanctionné. 2 SUJET I – Synthèse en espagnol d’un document rédigé en espagnol A siete meses para que entre en vigor la libertad total de horarios que establece la Ley de Comercio de enero de 1996 (liberalización que fue retrasada en el año 2000 hasta el 2005), comienza a perfilarse una nueva batalla política, económica y social, con grandes intereses de por medio y que a nadie deja indiferente porque forma parte de la vida misma de las ciudades. La iniciativa, en favor de una mayor restricción, al igual que en 1996, procede de Cataluña, aunque en esta ocasión desde las filas del PSOE. Entonces fue promovida por CiU, el socio parlamentario de un PSOE acosado política y socialmente y a punto de convocar elecciones generales para perderlas en marzo de 1996. La letra y la música del texto legal aprobado entonces recogía las reivindicaciones de los botiguers (pequeños comerciantes catalanes), con muchos votantes de CiU, que se veían atacados por el avance de las grandes superficies. Hablar de horarios comerciales es hablar de división. Divide a los grupos políticos, al sector de la distribución e incluso, a los consumidores. La Ley de Comercio de enero de 1996 sufrió un accidentado y largo trámite parlamentario que se cerró con el consenso a última hora de todos los grupos. De todos los puntos del texto los horarios comerciales eran la verdadera estrella de las disensiones. Se optó por fijar ocho domingos de apertura como mínimo y se estableció la libertad de horarios para 2001, como fórmula para desatascar la ley. Pero llegó el año 2000 y resurgió la polémica. El PP, más afín a los intereses de las grandes superficies, optó por una fórmula intermedia. Mediante un decreto amplió un domingo más al año hasta llegar a los 12 actuales y de 72 a 90 horas semanales de apertura. Ahora se enfoca de nuevo el problema. Abrió el fuego el titular de Industria y Comercio, José Montilla, al anunciar que quiere reducir de 12 a 8 los domingos abiertos, Espagnol Vuelve la guerra de los horarios comerciales 247 passerelle_p223-266x Sujet S PASSE RELLE 2 24/11/06 9:30 Page 248 y de 90 a 72 horas las horas semanales, es decir, la situación de 2000, tal como recoge en el programa electoral del PSOE y afín a las reivindicaciones defendidas en Cataluña, comunidad de donde procede Montilla. Éste, en su calidad de secretario general de los socialistas catalanes, es uno de los artífices del Gobierno tripartito de Cataluña, comunidad que ya ha preparado una ley en este sentido. El vicepresidente del Gobierno y ministro de Economía, Pedro Solbes apuesta por mantener los 12 domingos como punto de partida que los gobiernos autónomos luego amplíen las aperturas si lo estiman oportuno. ¿Y el sector qué opina ? Hay tres frentes claramente definidos. Las grandes superficies son las que más han presionado en los últimos años por la libertad total de horarios y de hecho son quienes más cuota de mercado han perdido al pasar del 20,8 % en 1999 hasta el 18,4 %. Según Anged (1), los horarios « deben adaptarse a las necesidades de los consumidores y no a la inversa. » Por su parte, Asedas (2), considera que hay que abrir en domingo cuando haya circunstancias excepcionales, por ejemplo, cuando haya dos festivos seguidos. Según los supermercados, « abrir los domingos supone que los trabajadores de comercio, más de 1,5 millones de personas no puedan compartir el descanso con su familia y es especialmente duro para las mujeres que son el 70 % de las plantillas. » Para la CEC (3) que aglutina a 400 000 pequeños comerciantes es acertado el recorte anunciado por el ministro de Industria y Comercio porque permite la « natural y legítima competencia entre los grandes y los pequeños comercios. » En cuanto a los consumidores, la mayoría de ellos critica abiertamente el intento restrictivo del ministro Montilla. El País, domingo 30 de mayo de 2004. (608 palabras) (1) Asociación Nacional de Medianas y Grandes Empresas de Distribución. (2) Asociación Española de Distribuidores, Autoservicios y Supermercados. (3) Confederación Española del Comercio. II – Synthèse en espagnol d’un document rédigé en français Espagnol Coup de frein à la libéralisation commerciale 248 Le processus de libéralisation de la grande distribution en Espagne sera affecté négativement par le changement de majorité intervenu le 14 mars. Le Parti populaire avait prévu que pratiquement toutes les restrictions créés par la loi de 1996 soient supprimées à partir du 1er janvier 2006, mais le nouveau gouvernement socialiste (PSOE), qui n’a pas la majorité absolue, sera plus sensible aux pressions des nationalistes catalans et basques, favorables au petit commerce traditionnel. Le PSOE a l’intention de fixer le nombre de dimanches et jour fériés ouvrables à 8 par an et de permettre aux autorités régionales d’avoir le dernier mot pour l’ouverture de nouveaux centres de plus de 500 m2. À l’heure actuelle, le minimum légal de dimanches et jours fériés ouverts est de 12 par an, mais il varie beaucoup d’une communauté autonome à l’autre. À Madrid, par exemple, il y 21 dimanches et jours fériés ouvrables par an, contre 5 aux Baléares et en Catalogne et aucun au Pays basque. 9:30 Page 249 S’agissant de l’ouverture de nouveaux centres, l’exigence d’une nouvelle licence délivrée par les autorités régionales ne vise actuellement que les établissements de plus de 2 500 m2. Outre l’exigence d’une deuxième licence régionale pour les magasins de plus de 500 m2, le PSOE envisage de permettre aux communautés autonomes de refuser l’ouverture de nouveaux établissements aux chaînes contrôlant déjà plus de 25 % d’un marché local ou régional, ce qui pourrait affecter des groupes d’hypermarchés (Carrefour, Alcampo, Eroski) et les grandes chaînes de supermarchés comme Mercadona et Capabro. D’autre part, la grande distribution alimentaire est de plus en plus divisée : avec 69 hypermarchés, le basque Eroski, qui fait partie des coopératives Mondragón, manifeste l’intention de fermer tous les dimanches et jours fériés. « Le plus important, c’est la qualité de vie des travailleurs », dit Eroski, justifiant ainsi la rupture du front créé par les grandes surfaces en faveur d’une libéralisation totale des jours d’ouverture. Le groupe leader de supermarchés Mercadona avait déjà pris la même décision de ne plus ouvrir aucun des ses 800 centres les dimanches et jours fériés, répondant à la demande de ses 44 000 employés, dont 77 % de femmes. S Sujet 24/11/06 RELLE PASSE passerelle_p223-266x 2 Autorisations Le ministère de l’Économie et des Finances souhaite assouplir les règles d’ouverture des commerces le dimanche, avec une autorisation passant de cinq dimanches d’ouverture à une dizaine, assurait, hier, le Journal du dimanche. Interrogé par l’AFP, Bercy n’a ni confirmé ni démenti, renvoyant à la conférence de presse que donnera demain le ministre, Nicolas Sarkozy. L’hebdomadaire indique par ailleurs que « les zones touristiques où les boutiques ne ferment pas devraient être élargies ». En contrepartie, les hypermarchés devront améliorer leurs prix de vente. Tant le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, que Nicolas Sarkozy ont d’ailleurs récemment fait des allusions aux « marges », pénalisantes pour les producteurs comme pour les consommateurs. Bercy insisterait donc, selon le « JDD », pour que les ristournes consenties par les producteurs aux distributeurs pour valoriser leurs produits (les marges arrière) se retrouvent davantage dans les prix de vente. La vente à perte resterait interdite. Parmi les gages que le ministre veut donner aux distributeurs pour les inciter à baisser les prix, figure la nécessité sinon d’abolir du moins de restreindre les accords de gammes, une pratique des grands industriels visant à réserver des conditions plus intéressantes aux distributeurs qui prennent tout ou partie de l’offre d’une ou plusieurs marques, cela ayant pour effet d’exclure les produits des PME. De notre correpondant à Madrid – José Alves, Les Échos, lundi 3 mai 2004. III – Production libre en espagnol ¿ Está usted a favor de « la libertad absoluta » de horarios en materia de apertura y cierre de las tiendas ? Alegue razones para presentar las ventajas y los inconvenientes de la liberalización de los horarios comerciales. Espagnol (580 mots) 249